Sujet: Silvio Jalusi Ven 27 Jan - 21:33 | |
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n° 82
| généralités Nom & Prénom(s) : Silvio Jalusi Surnoms : Silvio, c'est pas déjà assez court ? :B Âge : 29 ans Célébrité : Pete Doherty Matricule : n° 82 Origines : Né à Rome Profession : Autrefois musicien, et aujourd'hui... eh bien, plus rien. Orientation Sexuelle : Hétéro célibataireGroupe :citoyens |
informations Caractère : Notre jeune homme –s’il l’on considère qu’il l’est encore- est facilement sarcastique, franc et moqueur. Il ne manquera jamais au rôle qu’il joue, celui de parfait connard, pardonnez-moi l’expression. Il n’y va pas avec des pincettes, dit ce qu’il pense au moment où il le pense lorsqu’aucun enjeux n’est important, et juge facilement, ce qui accentue son côté moqueur. Cependant ce côté connard a deux facettes : la méchante, celle utilisée pour ceux qu’il n’apprécie pas ou qu’il ne connait, et l’humour de connard qu’il utiliser avec ceux qu’il aime. Ceux-ci commencent à avoir l’habitude de ses remarques blessantes et continuent à faussement s’indigner mais toujours en souriant intérieurement. De plus, ce cher Silvio est rancunier, rebelle, insoumis et brut de décoffrage. La provoque, c’est son truc. Il courtois et galant, mais il est absolument inutile de le chercher, puisqu’on finit toujours par le trouver. Il est hors de question de se laisser marcher dessus, et lorsqu’autour de lui on s’égare du droit chemin de la politesse, il perd les pédales et fonce dans le tas. C’est un solitaire dans l’âme, il n’a donc pas l’habitude de traîner en bande. Ce qui implique que lorsqu’on le provoque, personne ne peut le retenir ou le raisonner, et il se retrouve seul face aux autres. Ce qui ne lui pose pas forcément de problèmes non plus. A partir du moindre dérapage d’autrui, le côté provoquant et insoumis refait surface en moins de deux. Attention, comme dit précédemment, il est galant et courtois, ce qui nous amène à d’autres aspects du baroudeur : il est sensible, idéaliste et blessé. Autrement dit, il a du cœur. Il a l’âme d’un poète, toujours en quête d’inspiration et de charme. Il a ses propres convictions et ses propres doutes. Je vous invite à le découvrir plus personnellement dans bien des RP, ce qui ne manque pas d’être intéressant. Caractéristiques visuelles : Silvio a une petite bouille toute ronde, mais il a surtout un visage marqué. Il a en permanence des poches sous les yeux, plus ou importantes selon la fatigue, la soirée de la veille et les substances ingurgitées -ou non d'ailleurs-. Avec ses grains de beauté et ses yeux de défoncé -alors qu'il ne l'est pas forcément, précisons le ah non mais tout de suite j'ai toujours des personnages camés moi après-, Silvio n'est pas franchement un idéal de beauté, ni un modèle de train de vie sain -qui se lit dans ses cernes-. La seule chose qui puisse le rendre attirant, c'est son style et ses allures de rockeur londonien branché et incompris. Ne me dites que vous ne voyez pas à quoi ça peut bien ressembler. Le look slim, blazer, torse nu ou simple débardeur plus ou moins moulant, chapelet, chapeau melon, chaussures en cuir marron ... Les cheveux en pagaille, la clope à la main, le regard perdu; ça vous fait pas craquer vous ? En tout cas, ça en a fait craquer plus d'une. Hum et n'oublions pas:sa signature au dessus de son téton droit les filles ! Habitudes : Se lever avant le soleil, histoire de se balader seul dans les rues. Se poser dans un fauteuil en cuir, un verre de whisky -vide en l'occurence depuis que le gouvernement l'interdit. La perte du whisky dans la vie de Silvio, c'est un des trucs qu'il reproche vivement au Gouvernement. Bête et égoïste, mais le whisky c'est sacré les enfants.- en lançant un vinyle de rock 60s sur le phonographe. S'asseoir au bord du vide sur la fenêtre et regarder les toits et les lumières de la ville nocturne en fumant une clope. Prendre un café dans bar en dessinant sur les nappes en papier. Se caler l'épaule contre un mur de briques et regarder les passants. Grimper au plus haut de son immeuble, ouvrir la lucarne et se poser sur les tuiles en attendant que les chats des quartiers viennent quémander des caresses. Se réveiller à deux heures du matin, attraper sa guitare et enchaîner ses accords favoris sur un simple coup de tête. Voyez-vous, y a des petits bonheurs comme ceux là dans la vie, qui font comprendre à Silvio pourquoi il est sur Terre. Et ces petits moments là, bien que légèrement changés depuis la mise en place du gouvernement, ne pourrons jamais lui être enlevés. le passé Histoire : Rome. Gigantesque, tentaculaire, bariolée et dévergondée. C'est dans la Rome nocturne que Silvio a vu le jour (remarquez l'effet de style), d'une mère fort probablement prostituée, qui l'a abandonnée devant la porte de son (supposé) géniteur. Celui-ci, riche homme d'affaire au coeur tendre et à la foi en béton, décide de garder l'enfant. Il engage une nourrice, puis un tuteur (ecclésiastique). Silvio est élevé dans le respect de Dieu... mais le jeune garçon n'en a que faire. Comme s'il avait plus tenu de sa mère, le jeune Italien est fasciné par la musique, la rue, la nuit, et tout ce qui va avec. Les fugues se multiplient. Ne sachant plus comment en sortir, son père l'envoie en Toscane, en pensionnat. Là-bas, Silvio retrouve un mode de vie plus sain, et découvre alors réellement des valeurs telles que l'amitié, le respect, la famille. Ses années de pensionnat on été les plus belles de sa vie. Il se montre remarquablement doué pour la musique, autant en guitare qu'en chant. Après le pensionnat, il entre au Conservatoire. Il venait à peine de terminer que le virus a frappé. Implaccable. Terrifiant. Il y a perdu le seul amour de sa vie : Julianna, une jeune italienne qu'il aimait sincèrement. Ils avaient des projets, ils voulaient vivre et mourir ensemble... Cette blessure est restée profondément ancrée en lui, et Silvio a changé du tout au tout. D'un garçon gentil, sensible, presque timide, il est devenu un emmerdeur de première, provocant et dévergondé. Peut-être pour se cacher. Récemment, alors qu'il se rendait en Ukraine, il a rencontré Annabeth MacKillian, une Anglaise (voir PV Citoyens) qui ne l'a jamais craint. Ils s'était juré de haïr jusqu'à la mort la première fille qu'il rencontrerait après la mort de Julianna. Mais voilà, il a beau hurler des insultes, cette rousse aussi têtue que lui, il a fini par s'y attacher un peu (beaucoup). | derrière l'écran Puf : Crep's Codes du Règlement : validé par crashImpressions générales du forum : Le concept est juste énorme :parcequecrashaunvraitalent: Si je devais faire une légère critique, c'est la pixellisation des écritures de la PA et des icônes nouveaux messages etc. Le genre de truc qui me gave (mais c'est pas ça qui va m'empêcher de geeker parmi vous) Comment as-tu découverte Matricule 192 ? Ben Crash m'en avait parlé quand elle l'avait ouvert pour la première fois, et depuis c'est à cause de Daemon's qui me baratine tous les jours en cours avec M192 alors elle m'a motivé. Et dès que j'ai vu Pete Doherty, y avait plus de questions à se poser Niveau d'Activité : Attendez à devoir me supporte 7 jours sur 7 Multicompte : Nop :B |
Dernière édition par Silvio Jalusi le Sam 11 Fév - 11:24, édité 1 fois |
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